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Santé préventive

L’autopalpation mammaire est une forme d’auto-examen simple et rapide. Réalisée avec les bouts des doigts, elle permet de mieux connaître vos seins et de repérer tout changement inhabituel.

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Ce geste fait partie de la prévention et du dépistage précoce du cancer du sein. Il ne remplace pas les examens médicaux, mais il aide à repérer un changement.

Détecter une anomalie ne veut pas dire qu’il s’agit d’un cancer, dans la plupart des cas, ce n’est pas grave. En cas de doute, consultez votre médecin pour être rassurée.

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Si vous remarquez une anomalie persistante, consultez votre médecin sans attendre. La plupart des changements ne sont pas graves, mais mieux vaut vérifier.

L’autopalpation, un geste à connaître

La vaccination est l'un des moyens les plus efficaces de prévenir la grippe et la COVID-19. Elle renforce notre système immunitaire et nous aide à développer une protection contre ces virus. Elle diminue fortement le risque de formes sévères, protège vos proches et contribue à réduire la pression sur les hôpitaux.

En vous vaccinant, vous vous protégez… et vous protégez les autres !

La vaccination doit être renouvelée tous les ans entre octobre et décembre, car le virus évolue chaque année.

Des plages de vaccination seront ouvertes à partir du 13/10 en prenant rendez-vous à l’accueil en téléphonant au 02 660 96 34

💡 Les deux vaccins peuvent être administrés le même jour dans deux bras différents.

💉 Le vaccin COVID-19 est fourni gratuitement par la Maison Médicale.

⚕️ Le vaccin contre la grippe est à aller chercher à la pharmacie, sans ordonnance.

👨‍⚕️Le vaccin peut être administré à la Maison Médicale ou directement dans une pharmacie vaccinatrice.

Vaccination Grippe et COVID-19 

Le cancer du sein touche des milliers de femmes chaque année. Cette maladie, bien qu'effrayante, peut être mieux comprise et combattue grâce à la sensibilisation, à la prévention et aux progrès constants de la recherche médicale.

En Belgique, le cancer du sein est la forme la plus courante de cancer chez les femmes. Selon les statistiques, près de 11 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année ; 75% des cas surviennent après l’âge de 50 ans. Bien que le cancer du sein soit rare chez l’homme, on dénombre néanmoins 1 homme touché par ce type de cancer pour 100 femmes.

Plusieurs facteurs de risque sont associés au cancer du sein, notamment l'âge, les antécédents familiaux, le mode de vie, l'obésité, le tabac et la consommation d'alcool. Cependant, il est essentiel de se rappeler que le cancer du sein peut toucher n'importe qui, quel que soit son profil de risque. C'est pourquoi la sensibilisation à cette maladie est si importante.

Attention, si vous avez des antécédents familiaux au premier degré (votre mère ou votre sœur), il est important de contacter votre médecin de la Maison Médicale pour un avis au plus tôt.

Il est important de surveiller tout changement dans la poitrine, notamment :

Il est recommandé aux femmes de faire examiner leurs seins par un professionnel de la santé (médecin généraliste, gynécologue ou sage-femme) une fois par an à partir de l'âge de 25 ans. 

Le mammotest permet de repérer un cancer à un stade précoce en l’absence de tout symptôme.

Détecté à un stade précoce, le cancer du sein peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Le dépistage des cancers du sein, c’est tous les 2 ans de 50 à 69 ans, et c’est gratuit !

Si le mammotest est négatif, il n'est pas nécessaire de pratiquer d'autres examens pour vérifier que les seins sont en bonne santé.

Si le mammotest est positif, des examens complémentaires sont nécessaires (une échographie suffit pour se rassurer, parfois, il faut faire une ponction à l'aide d'une aiguille). Le mammotest est positif chez 10 % des femmes. 9,5 fois sur 10, un mammotest positif n'est pas un cancer.

<a href="https://www.bruprev.be/fr/le-depistage-du-cancer-du-sein/le-mammotest">Pour plus d’info : cliquez ici ! </a>

Demandez votre prescription pour le mammotest à l’accueil, et votre médecin la remplira.

Avenue du Pesage 58 1050 Bruxelles tel : 02/649.85.87

Avenue De Fré 206 1180 Bruxelles tel : 02/614.27.70

Rue J. Paquot 63 1050 Bruxelles tel : 02/641.44.76

Avenue des Frères Legrain 85 1150 Bruxelles tel: 02/761.60.70

Avenue De Tervueren 236 1150 Bruxelles tel : 02/762.03.25 délai de rendez-vous : 1 semaine maximum

Rue de Linthout 150 1040 Bruxelles tel : 02/614.37.70 délai de rendez-vous : 1 semaine maximum

Bd du Triomphe 201, 1160 Auderghem Tel : 02 434 81 11

Le mammotest est gratuit pour les 50 - 69 ans, il est également possible de faire une mammographie dans un autre centre/ hôpital, mais attention, le cout du radiologue vous sera facturé.

Octobre Rose : Le Cancer du Sein

En Belgique, le cancer du côlon est le deuxième plus meurtrier, souvent diagnostiqué trop tard. Pourtant, il évolue lentement et se guérit dans 90 % des cas s’il est détecté à temps. Un test simple et rapide peut vous sauver la vie : le colotest !

Le colotest prend 5 minutes, se fait à la maison, ne fait pas mal et est gratuit.

Le mois de mars est le mois international de la lutte contre le cancer colorectal !

Le cancer colorectal est un cancer du gros intestin, il se développe dans le côlon ou le rectum. 

Le cancer débute souvent par l’apparition de polypes (petites excroissances) dans le gros intestin, qui comprend le côlon et le rectum.

D’abord inoffensifs, ces polypes peuvent grossir et évoluer en tumeurs cancéreuses. Les détecter et les retirer à temps permet de prévenir le cancer ou de le guérir dans 9 cas sur 10 s’il est diagnostiqué précocement.

Ce cancer se développe très lentement et peut rester silencieux pendant des années avant l’apparition des premiers symptômes.

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En Belgique, le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme et le troisième chez l’homme.

Il peut survenir à tout âge mais la plupart des cas concernent les plus de 50 ans.

1 personne sur 20 va développer le cancer colorectal dans la tranche d’âge de 50 à 74 ans.

Le colotest n’est pas une coloscopie ! Le colotest est un test simple à faire à la maison en toute intimité et non invasif.

Il suffit de prélever un échantillon de selles avec le kit spécial et de l'envoyer au laboratoire par la poste.

À 50 ans, vous recevez automatiquement une invitation de BruPrev pour le dépistage : il vous suffit de vous rendre dans une pharmacie avec votre carte d'identité pour obtenir un kit de dépistage, c'est gratuit et sans prescription médicale.

MARS BLEU : Campagne nationale du dépistage du cancer du colon

Vous avez surement déjà entendu parler de la Tournée Minérale ? C’est ce défi où on essaie de passer tout le mois de février sans alcool ! À la Maison Médicale, on vous propose de le faire avec nous et de se questionner sur les effets de l'alcool sur notre santé.

Plus de 8 Belges sur 10 boivent de l’alcool occasionnellement ou régulièrement. Pour beaucoup, l’alcool fait partie de la routine, parfois quotidienne.

Mais boire souvent, voire trop, n’est pas sans conséquences :

L’eau reste évidemment la boisson la plus saine, réhydratante et à moindre coût. Besoin de changer un peu ou d’ajouter une note festive ? Découvrez ces délicieuses alternatives à l'alcool !

La Tournée Minérale :un mois pour réfléchir à notre consommation d’alcool !

Les troubles du sommeil touchent de nombreuses personnes, et les somnifères, notamment les benzodiazépines et les "z-drugs", sont souvent prescrits pour y remédier. 

En 2022, plus de 2 millions de Belges ont consommé des somnifères ou calmants. S’ils sont efficaces contre l'insomnie et l'anxiété à court terme, leur usage prolongé peut poser des risques et un fort risque d’addiction.

Les benzodiazépines réduisent l'activité du cerveau, aidant ainsi à l’endormissement et à l’apaisement de l’anxiété. Attention, une utilisation prolongée peut aggraver ces troubles et peut aussi augmenter les risques de vertiges, chutes, somnolence, accidents et troubles de la mémoire.

La Maison Médicale vous propose un programme de sevrage progressif des benzodiazépines. Il est accompagné par une pharmacienne clinicienne et permet une réduction très progressive de la dose sur plusieurs semaines afin d’éviter les effets de manque. De nombreux patients ont déjà suivi ce programme avec succès. Parlez-en à votre médecin pour plus d’informations.

Prenez soin de vous et de votre sommeil !

Mieux comprendre les somnifères et leurs effets sur le sommeil

Les prescriptions de votre médecin ne se limitent pas aux médicaments. Saviez-vous qu’il peut aussi vous prescrire du sport ?

Et oui, dans le cadre d’une maladie chronique, l’activité physique peut être recommandée : elle est même considérée comme un outil thérapeutique dans certains cas, le tout sans effet secondaire !

La Maison Médicale vous présente son tout nouveau programme “Le Sport sur ordonnance” de 12 semaines. Encadré par votre kiné spécialisé Dorsan, ce programme a pour objectif de vous accompagner dans l'intégration de l'exercice physique dans votre quotidien.

James Sallis a très justement déclaré : « Si les nombreux bienfaits de l'activité physique pouvaient être concentrés dans une seule pilule, cela constituerait simplement le médicament le plus prescrit au monde. » En effet, les effets positifs de l'exercice sur la santé sont de mieux en mieux documentés : réduction des risques de maladies cardiovasculaires, de l'excès de poids, du diabète et de ses complications, des symptômes de l'arthrose, des troubles de santé mentale et même des risques de cancer, que ce soit en prévention ou en complément de traitements. C'est véritablement une potion magique à la portée de tout le monde !!

Vérifiez votre disponibilité pour les prochaines 12 semaines (avec possibilité de deux joker) les mardis de 17h30 à 19h. Si cela vous convient, n'hésitez pas à contacter l’accueil pour réserver votre place. C’est le premier pas qui demande le plus de motivation, alors bravo d’avoir franchi ce cap ! Avant et après les 12 séances, nous vous proposerons un test pour évaluer l'effet de l'activité physique sur votre santé et votre bien-être ! Attention, les places sont limitées à 8 personnes, ne tardez pas à réserver la vôtre !

Si cet horaire ne vous correspond pas, mais que vous souhaitez tout de même intégrer une activité physique dans votre routine, consultez notre agenda en ligne, car nous avons beaucoup d’autres séances d’activité physique à vous proposer !

Où ? 21 Avenue des Coccinelles, Salle 2 (porte de droite)

Quand ? Pendant 12 semaines, à partir du premier rendez-vous,

Comment ? Sur prescription médicale d’un des médecins de la Maison Médicale, puis en prenant contact avec l'accueil sur place par téléphone.

Condition ? Pour intégrer ce programme, il est indispensable que vous puissiez marcher pendant au moins 30 minutes

Le sport sur ordonnance 

Le cancer colorectal est un cancer du gros intestin. Il se développe dans le côlon ou le rectum est un cancer fréquent, mais lorsque détecté tôt, il est souvent traitable avec succès. C'est pourquoi il est crucial de sensibiliser le public à l'importance des dépistages réguliers.

Heureusement, grâce à la recherche, les chances de survie à 5 ans ont beaucoup augmenté récemment en Belgique, atteignant désormais 70,8%.

Parmi les méthodes utilisées pour détecter les signes précoces du cancer du côlon, le colotest joue un rôle clé.

En Belgique, environ une personne sur 23 en sera atteinte durant sa vie. Le risque augmente avec l’âge. Le risque augmente avec l’âge. Il est faible avant 50 ans.

Qu'est-ce que le colotest ? Le colotest est un test de dépistage du cancer colorectal qui vise à détecter la présence de polypes ou de cellules cancéreuses dans le côlon ou le rectum. Il est recommandé aux personnes âgées de 50 ans et plus, ainsi qu'à celles qui présentent des facteurs de risque spécifiques tels qu'une histoire familiale de cancer du côlon. Le test est gratuit, simple, non invasif et peut être effectué chez soi.

Comment fonctionne le colotest ? Le colotest détecte des traces de sang invisibles dans les selles, pouvant signaler des problèmes dans le côlon ou le rectum.

Vous recevez un kit gratuit à la maison pour recueillir vos échantillons de selles. Il suffit de le renvoyer dans l'enveloppe fournie. Les échantillons sont analysés en laboratoire pour détecter des saignements. Si des traces de sang sont détectées, cela ne signifie pas nécessairement que la personne a un cancer du côlon, mais cela peut indiquer la présence de polypes ou d'autres anomalies qui nécessitent un suivi médical plus poussé.

Ce dépistage est à effectuer tous les deux ans entre 50 et 74 ans.

L'importance du colotest : Le colotest est essentiel pour détecter le cancer du côlon à un stade précoce, lorsque les chances de guérison sont les plus élevées. En identifiant les polypes et les tumeurs dès le début, il est possible de les traiter avant qu'ils ne se propagent ou ne deviennent plus difficiles à traiter.

Si vous faites le colotest pour la première fois, vous pouvez aller le chercher directement à la pharmacie sans prescription du médecin.

Le mois de Mars, mois international de la lutte contre le cancer colorectal

L'alcool, une substance omniprésente dans nos sociétés, est souvent associé à la convivialité et à la détente. Cependant, derrière cette image de légèreté se cache une réalité bien plus sombre. Selon un rapport alarmant de l'Organisation mondiale de la Santé, l'abus d'alcool est responsable de plus de 3 millions de décès chaque année, soit environ un décès sur 20 à l'échelle mondiale. Les hommes représentent plus des trois quarts de ces tragédies.

Les chiffres sont frappants, mais ce n'est pas tout. L'alcool n'épargne aucune tranche d'âge, affectant même les jeunes adultes. Parmi les personnes âgées de 20 à 39 ans, environ 13,5 % des décès sont attribuables à la consommation excessive d'alcool.

Le message est clair : aucune quantité d'alcool n'est sans danger pour la santé.

Les effets néfastes de l'alcool sur la santé sont nombreux et variés, allant des intoxications aiguës aux cancers, en passant par les maladies cardiovasculaires, gastro-intestinales, infectieuses, neurologiques et neuropsychologiques, ainsi que les troubles de l'usage de l'alcool.

En adoptant ces habitudes de vie saines, vous pouvez contribuer à préserver votre santé !

Une « unité standard d’alcool » correspond à 12,7 ml d’alcool pur, c’est-à-dire 10g d’alcool.

Vous avez sûrement déjà entendu parler de la Tournée Minérale, le défi de passer le mois de février sans alcool ! À la maison médicale, nous vous invitons à relever ce défi avec nous !

Pourquoi faire la Tournée Minérale ?

L’alcool : un danger sous-estimé pour la santé

L’OMS (Organisme Mondial de la Santé) définit la santé mentale comme suit :

« La santé mentale correspond à un état de bien-être mental qui nous permet d’affronter les sources de stress de la vie, de réaliser notre potentiel, de bien apprendre et de bien travailler, et de contribuer à la vie de la communauté. Elle fait partie intégrante de la santé et du bien-être, sur lesquels reposent nos capacités individuelles et collectives à prendre des décisions, à nouer des relations et à bâtir le monde dans lequel nous vivons. La santé mentale est un droit fondamental de tout être humain. C’est aussi un aspect essentiel du développement personnel, communautaire et socioéconomique »<a href="#_ftn1" id="_ftnref1">[1]</a>

Il y a des signes physiques visibles ou des comportements qui peuvent indiquer qu’une personne souffre de problème de santé mentale :

Ligne d’écoute du centre de prévention du Suicide

Coordonnées SSM Auderghem et Boitsfort

Service de santé mentale Auderghem (Le Grès) : Rue des Trois Ponts 51, 1160 Auderghem, 02 660 50 73 / 02 660 50 74

Ils reçoivent des adultes et des « grands adolescents », les enfants et leur famille.

Permanence du lundi au vendredi sur rdv, et elles ont lieu le lundi, mardi et jeudi de 9h à 18h ; le mercredi et le vendredi de 9h à 17h

Service de santé Mentale Watermael-Boitsfort (19 rue de la Vénerie) : 02 672 78 16

Consultations sur rdv et permanence du lundi au vendredi de 9h à 12h et le jeudi de 17 à 18h

Il existe une Web série produite par la RTBF, qui s’appelle « Normal ». Celle-ci donne la parole à des personnes ayant des problèmes de santé mentale. Au travers de ces témoignages émouvants, on peut voir comment les personnes ont appris à vivre avec leur santé mentale. Le tout accompagné d’une direction artistique se voulant plus légère.

<a id="_ftn1" href="#_ftnref1">[1]</a> Source : <a href="https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/mental-health-strengthening-our-response">Site internet de l’OMS</a>

<a id="_ftn2" href="#_ftnref2">[2]</a> Source : <a href="https://www.aviq.be/fr/soins-de-sante/soins-et-aides-domicile/soins-psychiatriques-domicile#:~:text=Les%20Soins%20Psychiatriques%20pour%20personnes,g%C3%A9n%C3%A9ralistes%20de%20soins%20%C3%A0%20domicile.">Site internet de l’AVIQ</a>

<a id="_ftn3" href="#_ftnref3">[3]</a> Source : <a href="https://wikiwiph.aviq.be/Pages/Initiatives-d'habitations-prot%C3%A9g%C3%A9es-(IHP).aspx">Le Wiki wallon pour l'information des personnes handicapées</a>

Journée mondiale de la santé mentale

Vendredi 29 septembre, en cette journée mondiale du cœur, il est important de rappeler que les maladies cardiovasculaires restent l’une des principales causes de décès en Belgique, plus de 27 000 personnes en meurent chaque année.

Les maladies cardiovasculaires englobent un grand nombre de maladies qui touchent le cœur et les vaisseaux sanguins. En Belgique, elles sont malheureusement courantes.

Plusieurs facteurs de risque sont associés aux maladies cardiovasculaires et il est essentiel de les comprendre pour mieux les prévenir.

Quand on parle des facteurs de risque cardiovasculaires, il y a tout d’abord des facteurs non-modifiables (sur lesquels on ne peut pas agir, mais qu’il est bon de connaître) :

Ensuite, il existe une multitude de facteurs modifiables (qu’il est bon de connaître, car on peut agir pour les diminuer) :

La bonne nouvelle est qu'il est possible de réduire le risque de maladies cardiovasculaires en adoptant un mode de vie sain. Voici quelques conseils pour la prévention et la gestion de ces affections :

Les maladies cardiovasculaires

Le colotest est un test de dépistage du cancer colorectal qui vise à détecter la présence de polypes ou de cellules cancéreuses dans le côlon ou le rectum. Il est recommandé aux personnes âgées de 50 ans et plus, ainsi qu'à celles qui présentent des facteurs de risque spécifiques tels qu'une histoire familiale de cancer du côlon. Le test est simple, non invasif et peut être effectué chez soi.

Demandez votre prescription à votre médecin de la maison médicale !

Le colotest repose sur la détection de traces de sang invisible à l'œil nu dans un échantillon de selles, car des saignements minimes peuvent être le signe d'un polype ou d'une tumeur dans le côlon ou le rectum. 

Les échantillons de selles sont recueillis à la maison à l'aide d'un kit de dépistage gratuit. Une fois réalisé, renvoyez simplement le test en utilisant l'enveloppe grise préadressée et préaffranchie fournie dans le kit de dépistage.

Une fois que les échantillons de selles sont envoyés au laboratoire, ils sont examinés à la recherche de traces de sang invisible à l'œil nu. Si des traces de sang sont détectées, cela ne signifie pas nécessairement que la personne a un cancer du côlon, mais cela peut indiquer la présence de polypes ou d'autres anomalies qui nécessitent un suivi médical plus poussé.

Le colotest : un outil précieux pour détecter le cancer du côlon

Les Papillomavirus humains (HPV) sont un groupe de virus courants qui peuvent infecter la peau et les muqueuses de l'organisme. Bien que la plupart des infections à PVH soient bénignes et disparaissent spontanément, certains types de PVH peuvent entraîner des problèmes de santé plus graves.

Les papillomavirus humains sont des infections sexuellement transmissibles. 80 % de la population sexuellement active sera un jour confrontée à une infection par les HPV, dont la moitié entre 15 et 24 ans. Les virus HPV se transmettent par contact.

Il existe différents types de virus HPV :

La transmission des HPV est possible même sans verrue apparente, ni aucun symptôme.

 Heureusement, il existe des moyens efficaces de se protéger contre les Papillomavirus humains. 

La vaccination est l'une des meilleures méthodes de prévention. Les vaccins contre les PVH sont recommandés pour les filles et les garçons si possible avant de devenir sexuellement actif·ve. Le vaccin est gratuit pour les jeunes de 13 et 14 ans.

Toutefois, ces vaccins ne protègent pas contre tous les types de HPV, c’est pourquoi il est important de s’examiner à l’œil nu et de se rendre chez un·e gynécologue ou un·e médecin pour effectuer un frottis du col de l’utérus (remboursé tous les 3 ans à partir de 25 ans).

En plus de la vaccination, il est important d'adopter de bonnes pratiques sexuelles pour réduire le risque d'infection par les PVH. Utiliser des préservatifs lors des rapports sexuels peut réduire le risque de transmission, mais ils ne fournissent pas une protection complète, car les PVH peuvent infecter des zones non couvertes par le préservatif.

Les HPV concerne tout le monde, peu importe le sexe, l’âge, les attirances sexuelles et romantiques ou l’identité de genre, on peut toutes et tous être confronté·es à une infection par les HPV.

Le dépistage régulier des cancers associés aux PVH est essentiel pour détecter les lésions précancéreuses à un stade précoce. Les femmes sont encouragées à subir des examens de dépistage du cancer du col de l'utérus, tels que le frottis, conformément aux recommandations médicales.

En cas de lésions précancéreuses ou de cancers liés aux PVH, différentes options de traitement sont disponibles, telles que l'ablation chirurgicale des lésions ou la thérapie au laser. Les traitements sont généralement efficaces lorsque les problèmes sont détectés tôt.

Les Papillomavirus humains sont courants, mais avec des mesures préventives appropriées, il est possible de réduire considérablement les risques pour la santé. La vaccination, associée à des pratiques sexuelles sûres et à un dépistage régulier, joue un rôle crucial dans la prévention et la détection précoce des problèmes de santé associés aux PVH. En étant informés et en prenant des mesures adéquates, nous pouvons protéger notre santé et celle de nos proches.

Il existe différents types de virus HPV :   Les condylomes : ce sont des verrues génitales très contagieuses, qui se développent généralement dans la zone ano-génitale (anus, périnée, pénis, vulve). Elles n’évoluent pas en cancer, mais peuvent être gênantes physiquement et psychologiquement.

Et d’autres qui sont à l’origine de lésions précancéreuses et peuvent engendrer des cancers du col de l’utérus, de la vulve, de l’anus, du pénis et de la gorge.

Les HPV concerne tout le monde.Peu importe le sexe, l’âge, les attirances sexuelles et romantiques ou l’identité de genre, on peut toutes et tous être confronté·es à une infection par les HPV.

Médecin avec une illustration de l'uterus